ma tête s'est cognée brutalement sur le sol : retour violent à la réalité. on tombe en morçeaux ... mais j’ai peur de cette flamme qui avant toi m’a brulé. on a trop cherché le bonheur qu'on est passés à côté sans même s'en apercevoir. tu vois c'est ça la vie, un amas de petits rien, de petites choses insignifiantes qui forment un tout. maintenant j'ne suis plus qu'enchaînée à moi-même, enchaînée à mes rêves, à mes espoirs dérisoires. parfois
il y a des coups de foudre qui font des bleus au coeur, voilà ce que t'es pour moi : mon bleu au coeur. et c'est fou ce qu'on a pu faire d'erreurs dans la vie, tu sembles même en être une dans la mienne ... pour tout ce que tu m'as mal aimé , pour tout le temps que j'ai perdu. le pire dans toute cette histoire, c'est que les plaies ne se referment pas, que tu n'as même pas conscience du mal que tu me fais. je fuis l'affreuse dépendance, l'agonie sentimentale.
et ton existence, ta putain d'existence qui met mon être en pièces.
ma tête s'est cognée brutalement sur le sol : retour violent à la réalité. on tombe en morçeaux ... mais j’ai peur de cette flamme qui avant toi m’a brulé. on a trop cherché le bonheur qu'on est passés à côté sans même s'en apercevoir. tu vois c'est ça la vie, un amas de petits rien, de petites choses insignifiantes qui forment un tout. maintenant j'ne suis plus qu'enchaînée à moi-même, enchaînée à mes rêves, à mes espoirs dérisoires. parfois il y a des coups de foudre qui font des bleus au coeur, voilà ce que t'es pour moi : mon bleu au coeur. et c'est fou ce qu'on a pu faire d'erreurs dans la vie, tu sembles même en être une dans la mienne ... pour tout ce que tu m'as mal aimé , pour tout le temps que j'ai perdu. le pire dans toute cette histoire, c'est que les plaies ne se referment pas, que tu n'as même pas conscience du mal que tu me fais. je fuis l'affreuse dépendance, l'agonie sentimentale. et ton existence, ta putain d'existence qui met mon être en pièces.
2 commentaires:
Al, l'ange qui sait si bien manier les mots. Des phrases qui m'atteignent le coeur et me le metttent dans tous les sens. J'aime ce texte. J'aime tes mots. Je t'aime.
et j'aime : mais j’ai peur de cette flamme qui avant toi m’a brulé. :)
Je viens de relire ce texte, magnifique comme d'habitude - comme s'il pouvait en être autrement de toute façon.
Et la fin me rappelle un rêve que j'ai fait il y a un moment mais qui m'a trop marqué. Je composais des chansons dedans et les seules paroles qui me restent sont "écrasée par le poids de ton existence". Voilà.
A croire qu'on est réellement connectées.
Je t'aime.
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