20091030

life in technicolor

amour infirme

20091029

she is

tu perds le contrôle, encore. te murmurer que tout ira bien, tu vois je me revois en toi. les même erreurs, les même blessures. l'amour nous rendra folles alliées, on fonce la tête baissée et on en redemande. tu vois, les morçeaux de nos coeurs se complètent, on forme cette unité, notre unité. j'ai peur qu'un jour ta main ne soit plus là pour serrer la mienne, j'ai misé gros, tout mon coeur. les gens ne comprennent pas ce lien, ne comprennent pas que les kilomètres ne nous affaiblissent pas, ne comprennent pas que ça nous rend plus fortes. c'est de la magie c'est tout, y'a pas de mots, juste de l'amour à en crever.

« le destin est incensé »

20091019

the more I talk about it, the less I do control

back saturday ..

20091016

je suis fatiguée

abnégation. j'avais mal quelque part, sans savoir où ; je portais en moi un petit point douloureux, un de ces presque insensibles meurtrissures dont on ne trouve pas la place, mais qui gênent, fatiguent, attristent, irritent, une soufrance inconnue et légère, quelque chose comme une graine de chagrin.
j'ai juste envie de prendre mes jambes à mon cou et de fuir, fuir le plus loin possible jusqu'à que ces voix ne soient plus qu'un murmure & que la paix m'envahisse

20091015

badwan begins

l'effet secondaire s'est peu à peu évanoui. je ne ressens plus rien, rien à la place du coeur. tous mes organes vitaux sont sur pause et moi j'endure. chaque jour est la réplique exacte du précédent, j'ai l'impression d'y laisser un peu plus ma peau. je le sens bien, mon sourire s'est effacé, mes joues se creusent, mes yeux sont de plus en plus cernés de noir. il n' y a plus aucun éclat dans mon regard, juste le reflet d'un bonheur passé. et dans le regard de ma mère, suis-je censée y voir quelque chose ? moi je n'y vois rien, pas même mon reflet. ses mots échangés sonnent faux. la solitude pour seule compagnie

20091014

20091012

I don't know where your heart went

aujourd'hui tu as 18 ans et la vie devant toi. moi ma vie c'est toi, je l'ai toujours su, depuis le jour où on s'est rencontrées quatre ans auparavant. tu es ma moitié de vie, tu es pour moi celle qui ne change pas quand tout se bouscule autour de moi, celle qui est fidèle quand tout m'abandonne. la seule chose aujourd'hui qui est sure c'est que je t'aime et que je t'aimerai jusqu'à mon dernier souffle. la vie a beau laissé filer son horloge du temps, ce "nous" reste intact bien à l'abris dans mon coeur. je sais qu'on tremble pour l'avenir, mais je sais que ce futur nous promet encore et encore de belles choses, des millions de minutes à tes côtés. ma Charlotte, my only one in a million, i love you
- Brendaleke et le reste on s'en fout

20091007

everything I know is wrong


20091005

my mistakes were made for you

et ma tête qui est prête à exploser. je n'arrive pas à chasser cette image de ma tête. lorsqu'un souvenir vous colle à la peau et vous hante dès qu'il le peut. parfois je confonds le rêve de la réalité, cette pensée transperce ma peau, s'infiltre dans mon sang et poursuit sa course lentement dans mes organes vitaux. douce héroïne qui sillonne dans mes veines, elle attaque tout, à coup de bien-être. j'aimerais vivre cet instant à tout jamais et en aucun cas ressasser ce passé qui bousille tout, qui m'tue à feu doux. un vrai combat contre moi-même, « Et je me sens vide. Vide de sens, vide de sentiments, vide d'espoirs ». toute ma vie qui prend le dessus, qui m'échappe, qui m'engloutit. je cherche un point de repère, mais j'finis toujours par abandonner, par fuir - c'est tellement plus facile.

20091003

good morning england

qu'est-ce que c'est le bonheur ?

20091002

hedi slimane diary

model : miles kane ♥
« la perfection absolue je sombre dans un état second, mes yeux brûlants de bonheur. drogue dure, douce héroïne, le coeur léger mais mon corps est si lourd tel un fardeau. j'ai atteint le summun, plus rien ne m'importe juste le bourdonnement sourd de mes battements de coeur sous ma poitrine et cette sensation d'être en vie plus que jamais » .
comment renouer avec son ancienne vie ? comment expliquer alors que dans son coeur on commence à comprendre que tout retour est impossible ? il est des choses que le temps ne peut cicatriser. des blessures si profondes ... qu'elles se sont emparées de vous - il n'y a plus grand chose à dire, je crois que ma vie me dépasse, que tout s'écroule autour de moi. et comme pour enfoncer encore plus le couteau dans la plaie, je viens à toi, le sourire aux lèvres, le coeur à la main. tu ne dois même pas t'en rendre compte, n'y même y songer une seconde. une année s'est écoulée, une année que tu es entré dans mon coeur pour ne plus jamais réellement en sortir. me voilà prisonnière d'une vie qui ne rime à rien. toutes mes cartes s'abattent petit à petit. mes sentiments qui consument tous mes sens, les larmes que je ravale. mes plaies ne cicatriseront jamais, j'apprend à survire, à apprécier le goût de chaque souffle, à vivre pour chaque battement de coeur. cette boule au ventre ne disparaîtra donc jamais ? la vie est trop courte pour se lamenter, pourtant je suis là à attendre que la vie veuille bien faire quelque chose de moi. alors que je devrais attendre tellement d'elle. trop vite illusionnée, trop vite brisée ...

de toi, je ne veux qu'un sourire

Ce que j'aime chez toi, c'est ce sourire qui ne quitte jamais tes lèvres et tes deux yeux qui brillent sans cesse. C'est aussi quand je te fais rire à m'en éclater les oreilles, quand tu fais ensuite n'importe quoi pour me rendre la pareille. Il n'y a pas moins compliqué, j'aime juste être à tes côtés. Mais ces temps-ci, nos moments ont perdu de leur saveur, nos rires de leur candeur. De plus en plus de silences, et de moins en moins ta présence. Je te sens loin, je te sens ailleurs. Pourtant, tu es bien là, à côté de moi, mais je sens que déjà tu t'en vas. Je le sens au vide dans tes yeux, je le sens au froid de ta peau, je le sens à tes sourire qui sonnent creux ; cette présence qui n'est déjà plus vraiment toi, et ton absence qui semble m'arracher une partie de moi. Je ne veux pas, je ne peux pas. Je ne supporterai pas de te dire adieu. Je ne peux pas, je ne veux pas, de nouveau te voir souffrir. Car je la sens dans ces sourires, cette souffrance qui semble trop grande pour être partagée. Cette souffrance que tu n'oses pas m'imposer, peut-être de peur de me blesser ? Dans tes yeux, les larmes ont fait place à la sécheresse et dans ton coeur, tout semble s'estomper. A certains moments, j'ai presque l'impression que tu m'as oublié. Si tu savais comme j'ai peur quand dans tes yeux, je ne vois plus qu'une inconnue. Si tu savais comme tu me fais mal quand tu t'obstines à ne pas me parler alors que tu vois mes larmes coulées. Les tiennes, je les connais par coeur. Combien de fois les ai-je séchées, combien de fois t-ai-je consolé ? Je ne sais plus très bien, mais je sais que je ne pouvais supporter de te voir pleurer. Alors qu'est-ce que tu attends, toi, pour me rassurer ? Me dire que tu ne faisais que jouer, ou du moins me dire ce qui depuis quelques temps semble te ronger ? Je n'attend que ça. Raconte moi, j'écouterai. Pleure, j'essuyerai. Hurle, j'appaiserai. Mais c'est trop dur pour moi, tu comprends, de te regarder disparaître peu à peu et de rester les bras croisés. C'est trop dur, et je ne m'étais pas préparé à te voir t'en aller, à ce rejet. Alors s'il est impossible pour toi de me confier ce qui t'a fait changé, parle moi au moins. Rien qu'une fois, est-ce trop te demander ? Un seul mot de toi, un seul sourire ; quelque chose à quoi me raccrocher quand nos vies se seront séparées, est-ce réellement si compliqué ?...


20091001

the truth is, I miss you


Dans mon coeur, le temps semble s'être arrêté;
mon coeur va et vient, je l'entend à peine sous ma cage thoracique. je pose une main sur ma poitrine, pourtant il est toujours là, inerte. la vie même semble s'être arrêté. tu ne sais pas ce que c'est d'étouffer tes cris la nuit, tu ne sais pas ce que c'est l'indifférence, tu ne sais pas ce que c'est les regards vides, tu ne sais pas ce que c'est l'atroce affliction, tu ne sais pas ce que c'est de se sentir impuissante, tu ne sais pas ce que c'est de vivre sans arrêt dans le passé. voilà de quoi est fait mon quotidien. je ne suis faite que d'illusions, ma vie n'est qu'un rêve vain. et je m'en veux de ne pas me battre, de me laisser me noyer, je m'en veux de ne pas te rendre heureuse comme tu le mérites, je m'en veux que tu vois ces larmes tomber sur mes joues. tu sais j'ai tant donné qu'aujourd'hui je suis vidée. mon tout petit coeur est tellement usé si tu savais. ma peau est toute égratignée. j'ne sais que penser au passé, un trou sans fond dans lequel j'ne cesse d'agoniser.