20091130

mon coeur, mon amour

Mais quand tu t'éloignes, j'ai finalement envie de te voir rester.

where were you when everything was falling apart ...

ma tête s'est cognée brutalement sur le sol : retour violent à la réalité. on tombe en morçeaux ... mais j’ai peur de cette flamme qui avant toi m’a brulé. on a trop cherché le bonheur qu'on est passés à côté sans même s'en apercevoir. tu vois c'est ça la vie, un amas de petits rien, de petites choses insignifiantes qui forment un tout. maintenant j'ne suis plus qu'enchaînée à moi-même, enchaînée à mes rêves, à mes espoirs dérisoires. parfois il y a des coups de foudre qui font des bleus au coeur, voilà ce que t'es pour moi : mon bleu au coeur. et c'est fou ce qu'on a pu faire d'erreurs dans la vie, tu sembles même en être une dans la mienne ... pour tout ce que tu m'as mal aimé , pour tout le temps que j'ai perdu. le pire dans toute cette histoire, c'est que les plaies ne se referment pas, que tu n'as même pas conscience du mal que tu me fais. je fuis l'affreuse dépendance, l'agonie sentimentale. et ton existence, ta putain d'existence qui met mon être en pièces.

20091127

toi, je t'aime

bordel, ça fait deux ans.

20091124

tu lui as ouvert ton coeur plutôt que de t'ouvrir les veines

20091118

twisted logic

181105 181109

20091113

atmosfear

mercredi ça fera quatre ans

20091112

souffle au coeur

tu m'donnes le tournis

what do you think of me now ?

dis moi, tu m'aimeras comme avant ? car moi je ne t'ai jamais autant aimé qu'aujourd'hui. on s'est promis des monts et merveilles, mais aujourd'hui j'ne sais plus vraiment où on en est. peut-être bien à la case départ. mais la place, cette place là que t'as dans mon coeur c'est indescriptible. « reviens-moi, je n'y arrive plus sans toi » c'est exactement, mot pour mot ce que je t'ai dis quelques jours auparavant. ça m'est appararu très clairement, et les mots ont dégouliné tous seuls, sans même que je les guide, ils savaient ce qu'ils avaient à faire. j'espère que ça marchera, car j'en ai besoin, vraiment besoin...

20091111

life in technicolor II

On y a cru, mon amour, que ça nous arrivait. Un aller en première pour l'idylle inégalée. On la voulait l'histoire, on pensait l'avoir méritée, alors tu m'as ouvert ton coeur et j'ai plongé sans hésiter. Tu savais que j'étais pas étanche. Dans l'ivresse des profondeurs, je voyais comme une dernière chanc. Sans m'estimer à la hauteur de pénétrer ton existence, mais on se trouvait si beaux dans le miroir que nos regards nous offraient, au grand jamais on y verrait un pavé dans le reflet. C'était tellement surnaturel et évident, qu'on aurait traversé la mer à pieds sans se demander comment. On y a cru c'est vrai, mais peut être pas assez. Maintenant va savoir quand va nous passer, le sale goût amer dur à avaler. T'étais ma viscérale, ma fiancée de Frankenstein, ma madame rêve. Celle qui fait monter la sève et tomber la pression. Tu semblais me réanimer, me ramener à la raison. Avant toi j'étais zombie, prince de Valachie, comme une momie qui s'étiolait dans des fondations avachies. Prêt à mourir encore cent fois pour goutter ta substance, je t'ai dévorée à outrance. On y a cru d'accord, ptet même un peu trop fort, dans nos cris dans nos corps. Va savoir à quelle heure s'éclipseront les remords. Il me fallait au moins ça pour que je t'écrive encore une chanson et que j'apprenne que l'amour ne sert pas de remède. J'étais trop ignorant pour te prendre sans te perdre. On y a cru c'est vrai, mais peut être pas assez. Maintenant va savoir quand va nous passer, le sale goût amer dur à avaler. Je te souhaite l'extase avec un autre que moi, mais pas tout de suite. Qu'un prince charmant te rende visite et heureuse, mais quand même pas trop vite et subsiste l'espoir que quelque part dans ta mémoire cachée, mon nom ne soit pas sur liste noire mais sur papier glacé. Qu'il te revienne avec des souvenirs à consumer. Si jamais un soir la chaleur venait à manquer.

Lofofora - L'éclipse

20091108

Bonjour,

un aller-simple pour Londres.

20091106

j’t’aime pas, j’t’ai jamais aimé... regarde moi... j’ai une tête à t’aimer ?

12:51 is the time my voice found the words i sought

" Sauves-moi " , c'est le genre de phrase que j'aurais pu te crier. Mais j'ai préféré me taire, vas savoir pour quelles raisons. Tu semblais parfaitement épouser mon âme. Il m'a fallu du temps pour me rendre compte que je t'avais perdu, que j'avais perdu (la seule personne que j'aimais réellement). J'ai naïvement jouer au je te veux et je ne te veux plus. Regardes dans quel état je suis aujourd'hui, désemparée et mon coeur qui cherche une raison de battre. Je t'avais, toi, pourtant. Je me suis longuement cachée la vérité prétextant que j'étais faible et pas prête. Je me suis désillusionnée avant même de chercher pourquoi mon coeur s'enflammait aussi fort. Vas savoir à quelle heure disparaitront les remords.
archive on deathcandance (01092008)

et qu'on puisse être à nouveau deux, sans se faire ce mal

j'ai beau écrire tous les maux imaginables. mon cœur semble cogner beaucoup trop fort dans ma cage thoracique. trois années se sont écoulées, trois années qui me séparent de la perfection. les mots me manquent, voire même seraient dérisoires face à ce que je ressens réellement. peu m'importe que la vie m'apporte toujours plus d'affliction, je saurai y faire face, me relever. c'est tout simplement indescriptible, l'impact d'une voix, de quelques notes. c'est l'envers du décor, je goûte à ce que le mot vivre signifie. chaque jour me rapproche un peu plus du bonheur. ce fût le temps d'un battement de cœur ...
4-sept-09 coldplay @ barcelona

archive on deathcandance (18122008)

everything you can imagine is real

63 jours
(2 mois et 2 jours)

heart of glass

tu vois ça a marqué toute ta vie sans même que tu t'en rendes compte. au début, tu pensais que c'était une simple échappatoire, une solution temporaire à ton mal. pourtant, ça t'a bouffé. ça a commencé à pénétrer ta peau, à s'imiscer dans tes veines, à traverser tes os et ça a finit par ronger ta moelle. maintenant, ça ne te quitte plus. quoiqu'il advienne, n'importe où, n'importe quand. il est 23h30 et je ne pense qu'à ça, ce matin en me réveillant, j'y pensais déjà... c'est juste la perfection à l'état brut. ils m'accompagnent, c'est de la grande folie oui, mais il me permettent d'y voir plus clair. ils me refletent mon vrai visage et c'est à ce moment-là que je peux lâcher prise, que je peux arrêter de feindre. je les laisse juste me posséder, et je me sens si bien. j'en oublie le monde qui m'entoure, qui se détruit petit à petit. 5 consonnes et 3 voyelles qui me rendent... heureuse

your skin, oh yeah your skin and bones turn into something beautiful

je peux ressentir ce profond manque. cette irritation au plus profond du coeur, qui me dévore. je sens la lente agonie, les vagues de souffrance qui, jusqu'à alors, s'étaient contentées de m'effleurer se soulevèrent en rugissant avant de s'abattre sur moi et de m'engloutir. je sombrai... des milliers de mots n'y feront rien, ils n'arrêteront pas le temps. je suis seulement vide, vide de toute vie. j'embrasse des souvenirs pour survivre et j'ai peur. peur d'y laisser mon coeur, ma raison. tout ce fouttu désordre dans mon esprit, tout s'embrouille, se trouble, s'efface ...

20091103

Je ne manque pas de bonnes raisons pour t'aimer

20091102

▲humbug

Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie...
jeux d'enfants

20091101

je dois recoller les morçeaux

Oh, come on love, stay with me - c'est parfois plus dur qu'on ne le pensait. on a beau y croire tellement fort, rien n'y change, rien n'y fait. on reste bloqué à la case départ, paralysé. on a peur de faire un pas en avant mais on a aussi peur de faire machine arrière. que faut-il faire dans ces cas-là ?
sens-tu ce coeur qui bat, il est là au creux de ma main. ai-je franchi une limite ? c'est que j'ai peur d'oublier ton visage, le son de ta voix. parfois j'me demande si je ne t'ai pas tout simplement imaginé, inventé. pourtant, ce sentiment qui virevolte au bas du ventre est bien réel, bien présent en moi. cinquante huit jours plus tard, tu t'en rend compte toi, moi ça m'bousille le coeur de voir que le temps passe si vite et qu'il emporte tout dans son passage, même les bribes de bonheur que je possédais. mais qui peut réellement comprendre, l'impact fut douloureux.
What if you should decide
That you don't want me there by your side
That you don't want me there in your life